Reprise estivale et automnale de l’exposition l’Être et le Corps
Le corps a son langage, il a aussi ses maux. Si les mots du corps ne sont pas ceux du verbe, la souffrance, la douleur ou le handicap restent des cris silencieux. Esquisser par l’image intimiste une poésie de l’être, du corps, par des bribes de la danse de muse Terpsichore, mêler à ces cris muets, beauté, différence, douceur. Et rêver que les âmes des désunis s’apaisent. Que les drames des uns, des unes s’unissent et s’oublient, et trouvent chez les autres un réfuge intérieur, un abri.